La Chambre a voté pour annuler une règle qui protégeait Planned Parenthood

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La Chambre des représentants a porté hier un coup dur financier aux prestataires de soins de santé et d’avortement dans tout le pays. Par 230 voix contre 188, la chambre a voté en faveur de l'abrogation d'une règle émise par le président Obama peu avant de quitter ses fonctions. Obama a initialement introduit cette mesure pour empêcher efficacement les États de retenir l'argent fédéral alloué à la planification familiale aux organisations qui fournissent ces services, telles que Planned Parenthood, sur la seule base de raisons politiques ou personnelles. Ce fut un nouveau coup dur pour Planned Parenthood, le plus grand fournisseur de services de reproduction à faible coût pour les femmes, qui dépend des millions de dollars de financement fédéral...

Das Repräsentantenhaus hat gestern landesweit Gesundheits- und Abtreibungsanbietern einen schweren finanziellen Schlag versetzt. Mit 230 zu 188 Stimmen stimmte die Kammer dafür, eine Regelung aufzuheben, die Präsident Obama kurz vor seinem Ausscheiden aus dem Amt erlassen hatte. Obama hat die Maßnahme ursprünglich eingeführt, um effektiv zu verhindern, dass Staaten Bundesgelder, die für Familienplanung bereitgestellt werden, von Organisationen zurückhalten, die diese Dienste anbieten, wie etwa Planned Parenthood, allein auf der Grundlage politischer oder persönlicher Gründe. Es war ein weiterer Schlag für Planned Parenthood, den größten Anbieter von kostengünstigen Reproduktionsdiensten für Frauen, der auf die Millionen an Bundesmitteln angewiesen ist, die er …
La Chambre des représentants a porté hier un coup dur financier aux prestataires de soins de santé et d’avortement dans tout le pays. Par 230 voix contre 188, la chambre a voté en faveur de l'abrogation d'une règle émise par le président Obama peu avant de quitter ses fonctions. Obama a initialement introduit cette mesure pour empêcher efficacement les États de retenir l'argent fédéral alloué à la planification familiale aux organisations qui fournissent ces services, telles que Planned Parenthood, sur la seule base de raisons politiques ou personnelles. Ce fut un nouveau coup dur pour Planned Parenthood, le plus grand fournisseur de services de reproduction à faible coût pour les femmes, qui dépend des millions de dollars de financement fédéral...

La Chambre a voté pour annuler une règle qui protégeait Planned Parenthood

La Chambre des représentants a porté hier un coup dur financier aux prestataires de soins de santé et d’avortement dans tout le pays. Par 230 voix contre 188, la chambre a voté en faveur de l'abrogation d'une règle émise par le président Obama peu avant de quitter ses fonctions. Obama a initialement introduit cette mesure pour empêcher efficacement les États de retenir l'argent fédéral alloué à la planification familiale aux organisations qui fournissent ces services, telles que Planned Parenthood, sur la seule base de raisons politiques ou personnelles.

Ce fut un nouveau coup dur pour Planned Parenthood, le plus grand fournisseur de services de reproduction à faible coût pour les femmes, qui compte sur les millions de dollars de financement fédéral qu'il reçoit pour maintenir ses plus de 200 centres ouverts dans tout le pays. Cette décision gouvernementale est compliquée, mais les conséquences concrètes sont directes. Voici les réponses à certaines des plus grandes questions que vous pourriez vous poser.

Est-il si facile de renverser une telle règle ?

Réponse courte : Oui, mais cela se fait rarement. Pour y parvenir, le Congrès a utilisé le Congressional Review Act (CRA) – une loi adoptée en 1996 qui lui donne la liberté d’abroger les décrets dans les 60 jours suivant leur adoption. Le Congrès, dirigé par les Républicains, applique actuellement cet outil à cinq textes législatifs adoptés par Obama – une mesure sans précédent. Auparavant, ce mécanisme n’avait été utilisé avec succès qu’une seule fois, en 2001.

Quel est l’argument en faveur du renversement ?

Les membres du Congrès dirigé par le Parti républicain qui ont voté pour cette mesure affirment qu'il ne s'agit pas d'un vote pour annuler le financement de Planned Parenthood, mais d'un vote pour "affirmer le droit des États à financer les prestataires de soins de santé qui répondent le mieux à leurs besoins, sans crainte de représailles de la part de leur propre gouvernement fédéral".

Quoi était la règle du tout ?

Elle est entrée en vigueur le 18 janvier et interdit aux États de refuser d’accorder des fonds fédéraux pour la planification familiale aux prestataires pour des raisons autres que leur capacité à fournir ces services de « manière efficace ». En d’autres termes, cela a empêché les responsables de l’État de décider que Planned Parenthood ne devrait pas recevoir d’argent en raison de leurs convictions personnelles concernant l’avortement ou la planification familiale, ou pour des raisons politiques.

Pourquoi devrais-je m’en soucier ? Je n'ai pas vraiment l'intention d'avorter de si tôt...

L'abrogation de la règle donne aux États plus de liberté pour décider où allouer les fonds, ce qui signifie que l'argent peut désormais être retiré à tout service ou établissement de santé reproductive (lire : Patients de Planned Parenthood). Selon le rapport annuel le plus récent de l'organisation, les avortements ne représentent que 3 pour cent des services fournis par Planned Parenthood chaque année. 45 pour cent des services fournis cette année étaient en fait destinés au dépistage des MST/IST, 31 pour cent à la contraception et 12 pour cent à d'autres services de santé pour les femmes. En d’autres termes, retirer le financement nécessaire à des endroits comme celui-ci signifie non seulement éliminer l’accès à des avortements sécurisés, mais aussi l’accès à des choses de base comme le contrôle des naissances.

Les femmes dépendent-elles réellement de ces lieux de soins ?

Oui. Outre le fait que PP accepte Medicaid (pour aider les femmes qui ne peuvent pas se permettre des soins ailleurs), le déclin constant de la gynécologie à travers le pays signifie que vos options en matière de soins reproductifs disparaissent. Selon un rapport récent, il n’y a que 29 gynécologues pour 100 000 femmes dans le pays – et 28 zones métropolitaines des États-Unis n’en ont aucun. On dirait que les femmes américaines ont besoin de toute l’aide possible en matière de santé sexuelle.

Quellen: